La présidente s’excuse de ne pas avoir accordé la parole à la Bolivie précédemment... Personne ne savait que la Bolivie avait demandé la parole. Elle a habilement suggéré que toutes les objections substantielles soulevées par la Bolivie ont été étudiées pendant les consultations et, par conséquent, elle refuse de s’y attarder pour le moment.
La parole va au Pérou.
Le Pérou, le Chili, le Costa Rica, la Colombie, la République dominicaine et d’autres nations d’Amérique latine. Le document n’est pas exactement ce à quoi ils s’attendaient. « Mais nous croyons fermement que nous devrions accepter le présent document et aller de l’avant. Nous souhaitons également une seconde période d’engagement aux termes du Protocole de Kyoto. Mais nous devons aller de l’avant.
La salle applaudit à tout rompre.