Le ministre du Venezuela accepte les excuses qui lui sont présentées pour une expérience difficile vécue pendant la plénière. Nous savons que cet incident est attribuable à la fatigue, sans compter que les situations étaient complexes. Nous pensons qu’il est important que les gens gardent leur calme.
Il serait difficile pour mon pays, qui na pas été entendu par le passé, de laisser quiconque de côté. Nous souhaitons entendre avec nos oreilles et avec nos cœurs les inquiétudes exprimées par la Bolivie. Ils ont besoin d’une tribune. N’abandonnons pas alors que nous sommes si près du but.
L’important pour nous est de retourner aux groupes de travail de la CCNUCC et du Protocole de Kyoto pour prendre une décision formelle le moment venu. Ceci est une séance informelle. Retournons aux groupes de travail et fixons une heure pour une nouvelle séance.