La motion pour outrage au Parlement traduit bien le fait que, comme le note Ned Franks, professeur émérite en sciences politiques à l'Université Queens, aucun gouvernement dans l’histoire du Canada n’avait aussi souvent perdu lors de décisions rendues par le président de la Chambre. M. Franks a même ajouté que : « [les décisions] suggèrent, dans le meilleur des cas, que le gouvernement ignore les règlements et les principes qui gouvernement une démocratie parlementaire et, dans le pire des cas, qu’il s’en balance complètement et qu’il essaie simplement de tirer son épingle du jeu. »