(OTTAWA) – Le Parti vert du Canada a émis la déclaration suivante au sujet des derniers développements du conflit sur le bois d’œuvre entre le Canada et les É.-U. :
« Le Canada et les É.-U. avaient la possibilité de créer un nouvel accord sur le bois d’œuvre pendant les années Obama. Maintenant, des milliers d’emplois sont menacés et des douzaines de scieries sont sur le point de fermer après la décision surprise et l’imposition de droits élevés de douane par l’administration imprévisible de Donald Trump, a dit Elizabeth May, cheffe du Parti vert du Canada et députée de Saanich-Gulf Islands.
Le pays peut profiter de la renégociation de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA) pour défendre l’industrie forestière et mettre fin à l’exportation des billots bruts. Les Verts prônent depuis de nombreuses années qu’il faut retenir les emplois à valeur ajoutée au Canada en mettant en place une taxe importante sur l’exportation des billots bruts. Je suis heureuse de voir que Trump préfère renégocier l’ALÉNA plutôt que de s’en retirer complètement. Si cela avait été le cas, des milliards de dollars en commerce frontalier seront mis en péril. »
Paul Manly, porte-parole en matière de Commerce international pour le Parti vert du Canada, a affirmé : « Le patrimoine forestier du Canada est incroyable – 300 milliards d’hectares ou 10 % des forêts mondiales – et sa valeur économique et environnementale est énorme. Le Canada devra profiter de la renégociation de l’ALÉNA pour répondre à des questions fondamentales comme à qui appartiennent nos forêts et qui doit en bénéficier. Nos forêts doivent être gérées comme une priorité de viabilité environnementale à long terme. »
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