OTTAWA -- Le 17 mai 1990, l'homosexualité a été retirée de la liste des troubles mentaux de l'Organisation mondiale de la santé. En 2003, la Fondation Émergence a créé la première Journée nationale contre l'homophobie et, en 2014, le terme transphobie a été ajouté au nom de la journée. La campagne de cette année attire l'attention sur la violence en ligne : la cyberhomophobie et la cybertransphobie.
« Bien que le Canada ait pris des mesures importantes au cours des 30 dernières années pour reconnaître les droits des communautés LGBTQ+, nous devons demeurer vigilants », a déclaré la chef du Parti vert, Elizabeth May (députée, Saanich-Gulf Islands). « La cyberintimidation est une violence qui peut causer un tort incommensurable aux victimes. Les jeunes LGBTQ+ sont particulièrement vulnérables car ils interagissent sur les plateformes des réseaux sociaux. Les écoles doivent fournir un système de soutien confidentiel aux élèves qui veulent obtenir de l'aide. »
Partout dans le monde, de nombreux pays continuent de persécuter et de discriminer les membres des communautés LGBTQ+. Un rapport de mars de l'International Lesbian, Gay, Bisexual, Trans and Intersex Association (ILGA) identifie six États membres des Nations Unies qui imposent la peine de mort pour des actes consensuels entre personnes du même sexe.
« Le Parti vert du Canada est uni contre la discrimination fondée sur l'orientation sexuelle, les préjugés et le sectarisme sous toutes ses formes », a déclaré Mme May.
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