Déclaration du Parti vert sur la Journée mondiale de l'environnement des Nations Unies

OTTAWA - Cette année, la Journée mondiale de l'environnement de l'ONU invite le monde à « réimaginer, recréer et restaurer » - un appel à la renaissance des écosystèmes de la planète par la plantation d'arbres, le verdissement des centres urbains, le réensauvagement des jardins et des quartiers, la modification des régimes alimentaires et le nettoyage des rivières et des côtes. 

« La protection et le soin de la nature font partie intégrante de nos valeurs fondamentales et la plateforme et les politiques du Parti en sont le reflet », a déclaré Annamie Paul, chef du Parti vert. « Mais il est important de reconnaître qu'une composante essentielle de la protection de l'environnement doit inclure le renforcement des filets de sécurité sociale et la défense de sociétés justes au Canada et ailleurs. Tant que de vastes inégalités sociales perdureront, la protection globale du monde naturel demeurera un défi. »

« La pandémie a mis en évidence notre interdépendance. Comme la crise climatique s'aggrave, il sera vital pour les pays de collaborer. Le Parti vert continuera à demander des comptes au gouvernement sur les questions environnementales : l'urgence climatique, la conservation, la justice environnementale et la construction d'une économie verte durable. »

Mme Paul a fait remarquer que la réconciliation avec les peuples autochtones est essentielle à la protection de la nature. « Les droits fonciers autochtones au Canada et dans le monde entier demeurent menacés par des projets d'extraction de ressources et d'autres types de développement. Il est inadmissible que la protection soit encore insuffisante insuffisante pour les peuples dont la participation est essentielle alors que nous faisons face aux défis écologiques à venir. »

Le Parti vert reconnaît que les peuples autochtones gèrent les terres et les eaux de leurs territoires traditionnels depuis des siècles. Un gouvernement vert respectera la souveraineté des Autochtones sur leurs terres - qu'il s'agisse des Premières Nations, de la nation métisse ou des Inuits - et respectera tous les droits que leur titre foncier comporte, y compris le droit à l'intendance.

« De nombreuses personnes choisissent déjà, dans la mesure du possible, de vivre de manière plus durable », a déclaré Mme Paul. « Qu'il s'agisse d'utiliser les transports en commun, de soutenir l'agriculture locale, de participer à un jardin communautaire ou de faire du bénévolat dans un parc de quartier ou un refuge faunique, ces actions contribuent toutes à restaurer et à protéger l'environnement. Alors aujourd'hui, et chaque jour, continuons à faire ce que nous pouvons pour vivre sur la Terre de la manière la plus responsable possible. »

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