OTTAWA - Le rapport du mois dernier de la Plate-forme intergouvernementale scientifique et politique des Nations Unies sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) a lancé cet avertissement sévère : « La nature se dégrade à un rythme sans précédent dans l'histoire de l'humanité. Nous érodons les fondements mêmes de nos économies, de nos moyens de subsistance, de notre sécurité alimentaire, de notre santé et de notre qualité de vie dans le monde entier. »
« D'éminents scientifiques nous avertissent, une fois de plus, que la planète est au bord de la catastrophe », a déclaré la chef du Parti vert Elizabeth May (députée, Saanich-Gulf Islands).
« La Loi sur les espèces en péril du Canada de 2002 a déclaré l'engagement du Canada envers la conservation de la diversité biologique. Il est clair que nous devons consacrer davantage de ressources à cet objectif. Nous devons mieux protéger les espaces sauvages dont dépend la biodiversité. La nature ne prospère pas sur les pelouses entretenues et les monocultures, elle prospère sur les prairies, les prairies, les corridors de fleurs sauvages et les fermes biologiques. Les insectes, les oiseaux et les micro-organismes qui forment la base d'écosystèmes sains ont besoin de diversité. »
Le chef adjoint du Parti vert, Daniel Green, a déclaré : « On l’a lu, nos espèces fauniques disparaissent à vue d’oeil. Comment contrer l’hécatombe de nos animaux sauvages ?
Tout est lié : la survie des bélugas du Saint-Laurent est liée à notre propre survie. Il faut mieux protéger nos espèces en péril au pays et protéger les habitats essentiels à leur survie. Toute espèce qu’on perd constitue un coup dur pour notre biodiversité. Arrêtons de saigner notre nature ! »
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